John Fitzgerald Kennedy est devenu un mythe et en tant que tel, il peut prêter à toutes sortes d’appréciations, et donc d’exagérations, pour le pire et pour le meilleur.
Pour celles et ceux des génération en âge de ressentir l’émotion qui a suivi son assassinat, c’est un temps fort de leur histoire personnelle.
Pour ma modeste part, je retiendrais surtout la phrase qu’il a prononcée lors de son discours inaugural, le 20 janvier 1961 :
« Ne demandez pas ce que le pays peut faire pour vous. Demandez ce que vous pouvez faire pour votre pays ».
C’est en quelque sorte toute la question des droits et des devoirs.
En plus de la devise de la République, ceci devrait être écrit sur la Carte Nationale d’Identité.